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Ministre de la Culture : Phillippe De Villier

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Ministre de la Culture : Phillippe De Villier Empty Ministre de la Culture : Phillippe De Villier

Message par moonwolf Mar 29 Déc - 0:57

homme profondément honnête bien que je ne partage pas forcément les idées... je pense qu'il fut malgré tout un adversaire farouche des Européistes...

Philippe de Villiers, né le 25 mars 1949 à Boulogne en Vendée, est un homme politique et écrivain français.

Sous-préfet démissionnaire en 1981, il est le créateur du parc d’attractions du Puy du Fou (à l’époque, La Cinéscénie) dans les années 1980. Il occupe les fonctions de Secrétaire d'État à la Culture entre mars 1986 et juin 1987 dans le gouvernement Chirac II. Président du conseil général de la Vendée de 1988 à 2010, il est le fondateur du Mouvement pour la France (MPF), parti politique d’inspiration souverainiste. Il s'est présenté aux élections présidentielles françaises de 1995 et de 2007, où il a recueilli respectivement 4,74 et 2,23 % des suffrages.

Études et carrière professionnelle

Après des études primaires à l’école catholique de Boulogne, et des études secondaires au collège Saint-Joseph de Fontenay-le-Comte, Philippe de Villiers obtient une maîtrise de droit public à l’université de Nantes en 1971, puis le diplôme de l’Institut d’études politiques de Paris. Élève de l’ENA de 1976 à 1978 (promotion Pierre Mendès France), après un stage à la préfecture de la Corrèze, il intègre le corps préfectoral à la sortie de l’école et est nommé directeur de cabinet du préfet de Charente-Maritime. Entre-temps, il aurait été brièvement proche de la Nouvelle Action royaliste, branche dissidente de la Restauration nationale.

En 1978, il est à l’origine du spectacle du Puy du Fou, sur le site du château du même nom, que le conseil général de Vendée achète au prix du terrain (800 000 francs pour 30 hectares)[réf. nécessaire]. Il y met en scène une « cinéscénie », qui devient rapidement l’un des plus grands spectacles son et lumière de France. On y exalte « le mythe d'un âge d'or durant lequel nobles et gens du peuple auraient été soudés par un même idéal communautaire, image qui ne reflète pas la réalité de l'époque »7 mais « qui a servi jusqu'à nos jours à consolider une culture politique dont témoignent les commémorations du Puy-du-Fou, sans doute les plus spectaculaires du genre »7. Tous les vendredis et samedis soir d’été, des bénévoles et des professionnels retracent l’histoire de la Vendée et du château du Puy du Fou. On y voit notamment des scènes du conflit vendéen lors de la période de la Révolution française. Le spectacle est un succès populaire. Il accueille un million de spectateurs par an et est doublé depuis 1989 d’un parc d’attractions (« Le Grand Parc ») doté de nouveautés chaque année. Le succès du spectacle lui vaut d’apparaître en février 1984 dans l’émission de télévision de divertissement économique Vive la crise !8 comme un exemple de réponse à la crise économique par l’esprit d’entreprise.

Sous-préfet de Vendôme (Loir-et-Cher), il demande une mise en disponibilité au lendemain de la victoire de François Mitterrand à l’élection présidentielle de mai 1981, pour ne pas servir un pouvoir de gauche avec lequel il se dit en profond désaccord. Il devient alors délégué général de la Chambre régionale de commerce et d’industrie des Pays de la Loire.

En novembre 1981, tirant profit de la décision de François Mitterrand d’autoriser les radios libres, il crée aux Herbiers la station Alouette FM9, avant d’en laisser la présidence à son frère Bertrand. En 1982, il fonde Alouette Hebdo. Puis, en 1984-1985, il démissionne de l’administrationa 1 après avoir créé en 1984 à Nantes avec Olivier Guichard, le président du Conseil régional des Pays de la Loire, une école privée de communication, SciencesCom, initialement fondée sous l’appellation Fondation pour les arts et les sciences de la communication10.

En 1993, il inaugure un mémorial aux Lucs-sur-Boulogne en l’honneur des 564 victimes enfermées dans une église qui a été incendiée par les colonnes infernales, pendant les guerres de Vendée (1793 - 1796).

Supporter de longue date des « Canaris », Philippe de Villiers est sollicité en mai 2005 pour la présidence du FC Nantes, mais décline cette offre « informelle », en invoquant, selon 20 minutes, un emploi du temps déjà très chargé.

Fonctions gouvernementales

   20 mars 1986 - 25 juin 1987 : secrétaire d'État auprès du ministre de la Culture et de la Communication, au sein du second gouvernement Chirac

Fonctions parlementaires

Assemblée nationale

   2 juillet 1987 - 14 mai 1988 : député UDF de la Vendée
   23 juin 1988 - 1er avril 1993 : député UDF de la 4e circonscription de la Vendée
   2 avril 1993 - 24 octobre 1994 : député UDF de la 4e circonscription de la Vendée
   12 juin 1997 - 18 juin 2002 : député non-inscrit de la 4e circonscription de la Vendée
   9 juin 2002 - 19 juillet 2004 : député non-inscrit de la 4e circonscription de la Vendée (doit renoncer à son siège pour cumul de mandats)

Parlement européen

   19 juillet 1994 - 15 juin 1997 : député européen (démission)
   20 juillet - 16 décembre 1999 : député européen (démission)
   20 juillet 2004 - 1er juillet 2014 : député européen

Lors de la législature européenne 2004-2009, Philippe de Villiers a été présent à 52 % des sessions du Parlement européen (155 jours sur 298). Près de 58 % de ses votes enregistrés (1 286 sur 2 231) concordent avec le vote majoritaire de son groupe parlementaire, le Groupe Indépendance/Démocratie, qui assure dans sa charte la liberté de vote des délégations nationales. Par rapport aux autres eurodéputés français, il a voté en accord avec la majorité d'entre eux 31 % des fois44.

Lors de la législature européenne 2009-2014, Philippe de Villiers devient vice-président du Groupe Europe libertés démocratie45.
Mandats locaux

   6 juillet 1987 - 31 octobre 2010 : conseiller général de la Vendée, élu dans le canton de Montaigu
   3 octobre 1988 - 31 octobre 2010 : président du conseil général de la Vendée
moonwolf
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